Comme un mi-rage (mi-désespoir?)

Publié le par Raphaëlle Hosteins

 On le prépare pendant des mois, on le vit intensément et puis voilà. Un voyage terminé, c’est comme un mirage.

On a l’impression de se réveiller après un joli rêve mais dont on aurait tout de même ramené des souvenirs tangibles, réels et des photographies qui fixent à jamais les images, les sourires…

Le quotidien reprend immédiatement, violent et doux à la fois parce qu’il nous a manqué quand même, parce que notre chez-nous, nos routines, nos corvées même sont partie de nous et quand on en est loin, les yeux plein d’émotions et de découvertes, ils restent comme une encre. Syndrome de Stockholm ? Peut-être. Nous nous sommes attachés à cette vie après laquelle on peste souvent et qu’il nous tarde toujours, tôt ou tard, de retrouver.

15 jours de voyage, inoubliables, sont déjà derrière nous mais ils sont aussi en nous. Devenus, eux aussi, une petite partie de ce que nous sommes. Alors nous prenons plaisir à offrir des bricoles à nos proches, nos enfants surtout et à parler de notre expérience, exhiber nos clichés. Partager.

Le mirage s’efface, laissant juste sa marque sur nos rétines et dans notre disque dur, plus qu’un souvenir dans nos archives…

 

Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)
Comme un mi-rage (mi-désespoir?)

Publié dans réflexion(s), voyage

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