Ce que les stories Instagram m'apportent

Publié le par Raphaëlle

Depuis quelques temps, je suis plus active sur l’application instagram et surtout en stories.

Pour ceux qui ne connaitraient pas, il s’agit de photos ou vidéos partagées pendant 24 heures. C’est souvent la vie quotidienne qu’on y expose. Les petits riens qui remplissent une journée, les réflexions que l’on se fait, les questions que l’on pose aux abonnés ou les partages drôles, histoire de provoquer des sourires.

On devient vite accro aux stories. En tant que spectateur mais aussi en tant qu’acteur. Et, si la première fois, tu es gênée de parler à ton téléphone comme s’il y avait des gens juste en face, tu prends vite le pli. Bon, j’avoue, je me cache encore…

 

Il y a évidemment des points négatifs :

Ça me prend du temps.

J’expose ma vie et celle de ma famille (même si je prends soin de ne nuire à personne et de ne pas tout dévoiler, comme sur le blog)

 

Mais je voulais vous raconter ce en quoi les stories sont bénéfiques pour moi.

 

Evidemment, et c’est pour ça qu’on en fait, elles me permettent d’échanger avec les abonnés, de créer des interactions. Ça rend le compte beaucoup plus attrayant et vivant.

 

Mais plus que ça, les stories ont un impact positif dans ma vie. La vraie vie avec les vrais gens.

 

Une autre façon de voir ma vie.

Ça me donne en effet une vision de moi et de ma vie un peu différente. Ça me la met en lumière et en action. Au lieu de vivre les minutes les unes après les autres, sans conscience de l’enchainement des non-événements, je vois ma vie avec du relief. La moindre petite chose insignifiante prend de la valeur. Je me rends compte que tout peut prendre sens et que tout mérite de l’attention. J’imagine que c’est comme vivre seule ou à plusieurs. Si tu es seule et que tu fais tomber ton assiette au sol, tu vas peut-être râler, tu vas ramasser et nettoyer. Tandis que si tu partages ta vie avec quelqu’un, tu vas l’appeler pour lui montrer le désastre. Vous allez rire ou râler ensemble. Ou l’un va s’esclaffer et l’autre maugréer. Mais l’événement aura pris une autre couleur. Et vous pourrez en reparler plus tard. Vous avez partagé.

Avec les stories, c’est la même chose mais à plus grande échelle. Et la vie devient une succession de moments partagés. Ça rajoute des couleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel. Ticalicatam (enfin, il paraît que c’est Decalecatan mais je ne voudrais pas briser vos rêves).

 

Du coup, je me surprends à photographier ou filmer la moindre petite chose en me disant que ça fera rire les instagrammeurs. Et je porte donc beaucoup plus d’attention à tout ce qui m’entoure.

Une envie de montrer le meilleur

Ceux qui me suivent ici ou là-bas le savent : je ne triche pas. Je ne fais pas semblant. Je ne raconte pas tout mais je ne mens pas.

Je raconte en stories ce qui ne va pas. Il m’arrive de grommeler (mais si, ce mot existe toujours). Je me plains et je critique aussi. Mais la plupart du temps, j’essaie d’être positive et amusante (oui, bon, ben j’essaye ! C’est déjà ça)

De ce fait (j’allais écrire « du coup » mais c’est un peu surfait, non ?), je m’applique à trouver des choses drôles à partager ou à rendre amusant ce qui ne l’est peut-être pas de base. Les stories ont donc le pouvoir d’influencer ma façon de voir et de montrer. Et elle a le même impact sur ma famille qui se prête de plus en plus au jeu.

Je leur demande de se mettre plus ou moins en scène (de refaire ce qu’ils viennent de faire et qui m’a fait rire ou de participer de quelque façon que ce soit) et ils s’exécutent souvent de bonne grâce.

Quand tu veux montrer ce qui est bien en toi, et en eux, cela met l’accent sur le positif. C’est un cercle vertueux.

 

Je sais qu’instagram, c’est pas la vie. Ce n’est qu’un outil de communication. Je suis cependant ravie qu’il apporte un peu de bien dans ma vie. Et si vous voulez passer voir ce qui s’y passe, vous trouverez sur le blog la petite icône qui vous mènera tout droit sur mon compte. Je vous y attends !!

 

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